Evocation and Erasure in Toni Morrison’s Paradise: “This dying may take a while”

Auteurs

Mots-clés :

Paradise, Archive, Mémoire, Lieux de mémoire, Mémorial

Résumé

Cet article interroge les structures narratives de diverses communautés dans le roman de Toni Morrison, Paradise. Les récits qu’elles créent pour raconter leurs propres histoires et pour créer leurs propres identités se concentrent sur deux espaces physiques distincts, le Four communal et le Couvent. Le roman de Morrison met en question la façon dont la mémoire travaille pour provoquer à la fois une continuité et une discontinuité narratives, pour à la fois évoquer et effacer histoire et mémoire.

Biographie de l'auteur

LeAnn Stevens-Larré, Institut Polytechnique de Bordeaux

LeAnn Stevens-Larré est titulaire d’une thèse de doctorat de l’Université d’Oklahoma depuis 2010. Sa recherche se concentre sur l’impact de diverses manifestations physiques de la mémoire – dont le corps, les paysages, la cartographie et l’archive – tel qu’elles se manifestent dans la fiction, en particulier celle de Toni Morrison et de Thomas Pynchon. Elle enseigne l’anglais à l’ENSEIRB-Matmeca, à Bordeaux.

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Publiée

2015-11-30

Comment citer

Stevens-Larré, L. (2015). Evocation and Erasure in Toni Morrison’s Paradise: “This dying may take a while”. Leaves, (1), 239–248. Consulté à l’adresse https://revues.u-bordeaux-montaigne.fr/leaves/article/view/197

Numéro

Rubrique

II.1. Reconstructions : Se reconstruire - Récit, Témoignage, Archive