Ligne éditoriale

La revue électronique semestrielle Leaves a été créée à l'initiative de l’unité de recherche Climas (Cultures, Littérature et Linguistique des Mondes anglophones, UR 4196) de l’université Bordeaux Montaigne, en 2015. Cette revue entend refléter les différents champs de recherche de l'équipe, à savoir l'étude des mondes anglophones, dans une perspective culturelle, littéraire et linguistique, sans pour autant s’y limiter. Cette revue scientifique à comité de lecture est destinée avant tout à un lectorat averti (chercheurs, doctorants, étudiants de master).

Leaves est ouverte sur la communauté des anglicistes, des américanistes et des linguistes. Elle a vocation à accueillir les contributions originales de chercheurs français ou étrangers, sous forme de dossiers thématiques ou d’articles hors thème, afin de permettre une stimulante diversité. Des textes de conférences prononcées par des chercheurs invités ou des interviews d’auteurs pourront aussi faire l’objet de publication. Des numéros spéciaux peuvent être, à l’occasion, programmés en sus des parutions semestrielles.

Les propositions d’articles thématiques sont recueillies par le(s) coordonnateur(s) du dossier et font l’objet d’une double expertise en aveugle avant publication. Les articles peuvent être indifféremment rédigés en français ou en anglais, sans exclusive théorique ni méthodologique. Ils font l'objet d'une analyse anti-plagiat utilisant le logiciel Compilatio. Les propositions d’articles « hors thème » sont recueillies par le directeur de la revue et soumis au même processus d’expertise.

Leaves entend valoriser l’ensemble des contributions à chaque numéro, particulièrement le travail, trop souvent invisible, des évaluateurs. Ce labeur bénévole est en effet une étape cruciale de la production scientifique, que l’invisibilité condamne à une absence de reconnaissance. Afin d’y remédier, Leaves publie, pour chaque numéro, une liste des évaluateurs, sans toutefois préciser sur quel(s) article(s) a porté leur travail, estimant que les bénéfices de cette démarche excèdent le risque d’éventuelles récriminations. Chaque évaluateur pourra néanmoins demander à voir son nom retiré de ces remerciements.